Parce que c'est bientôt Pâques, j'ai décidé de partir au front, et de mener la guerre du chocolat avant vous. 

Je m'étais jamais posé de question sur le travail du chocolat avant ça vu que pour moi c'était avant tout un ingrédient, pas une recette en elle-même. Autant vous dire que je partais de loin. 

 Donc quand j'ai trouvé la recette du kinder country sur les foodies, je suis partie tête baissée. Utopiste que je suis.

Votre attention s'il vous plait. Cette recette, c'est ma recette qui fait dire "mais COMMENT t'es toujours pas mariée?" à mes amis. Et celle qui me fait réaliser, du coup, que je dois vraiment être une plaie à vivre au quotidien si aucun homme n'a voulu rester malgré mon risotto aux St Jacques. Bref, peut être es-tu moins chiant(e) et que ça te suffira.

J'ai galéré sur ce thème. AUCUNE inspiration. Alors qu'objectivement, le thème était bien choisi et laissait pas mal de possibilités. Mais non rien. Quand soudain. J'ai pensé thé, thé à la menthe, pâtisseries orientales.

Les pâtisseries orientales, ce sont un peu mes exceptions à mon perpétuel "non merci je suis pas très sucré". Oui. Je suis pas très "sucré". Mais ULTRA sucré et gras, là c'est mon truc. 

Bref. Tout ça pour vous dire que je vous ai fait des cornes de gazelles, car ça me semble la plus accessibles à la réalisation de toutes les merveilleuses pâtisseries libanaises, algériennes, marocaines... <3 (Après, soyez libres de me donner d'autres recettes et de me dire que si, c'est facile, hein.)

Voila. Pour citer Jackie Quartz (car c'est important de le faire), je voulais juste faire une petite mise au point sur cette histoire avec Hellocoton  que tout le monde n'a pas suivi. D'ailleurs, vous avez tout à fait raison de ne pas suivre cette histoire, c'est franchement pas intéressant. 

Maintenant que j'ai bien vendu mon article, je continue. 

Un vendredi soir à glander à la maison, en pyjama devant ma télé, quand soudain, une envie irrépressible de moules marinières. C'est possible, ça arrive. 

Afin que vous ne vous trouviez pas pris au dépourvu dans pareille situation, je suis gentille et je vous donne ma recette qui, de surcroît, est super simple. 

C'est pas facile facile d'avoir un blog, je vous le dis. Un blog cuisine, c'est encore pire. 

C'est beaucoup d'investissement de cuisiner tout ce gras, et de devoir le manger ensuite. 

Je vous explique mes soucis du moment. 

La cuisine, c'est ma passion, ça oui. D'où le blog, d'ailleurs. Sinon ça serait couillon un peu. Mais entretenir un blog c'est un défi quotidien. 

D'abord, il faut des idées. Sans arrêt. Souvent, je prépare des plats et je les trouve trop peu photogéniques, ou trop simples, alors je ne les publie pas. Parfois, je cuisine et je suis déçue du résultat. Alors (sauf ratage intégral et râlage subséquent comme ici) je vous épargne la recette, parce que je suis bien sympa quand même. 

Ensuite, il faut du temps. Du temps pour acheter les ingrédients (oui c'est moi la débile qui régulièrement oublie d'acheter du beurre/du sucre/ de la farine tout ça). Du temps pour préparer avec amour la recette. Du temps pour la rédiger. Du temps pour faire les photos. 

Ensuite il faut du courage. Oui au moins du courage, pour manger tout ce que je fais. Et puis récemment j'ai remarqué que vous étiez nettement plus réactifs quand je parle de brookies que de fenouil. Sauf que moi, j'essaye désespérément de me mettre au régime. Et je vous épargne les détails de ma récente intoxication alimentaire. 

Alors, avec tout ça, j'ai mis un peu le blog en stand-by. Bon pas trop non plus hein. Mais le temps de refaire le plein d'idées quoi.

Et en fait tout ce blabla pas intéressant c'était pour dire que j'avais d'autres centres d’intérêt dans la vie, notamment la déco. Mais ça vous le savez déjà, mon article sur les stars du vintage est le plus lu du blog! 

Donc en fait, ce post n'est qu'un très long préambule inutile pour vous dire qu'arrive un super article avec mes adresses de déco vintage en ligne. Ouais ouais. Et bisous, hein.