Ce soir je suis rentrée fatiguée avec un bon début de crève. Mais moi, à moins d'être à l'agonie - et encore- j'ai faim. J'ai donc improvisé n'importe quoi, comme souvent. Et c'était bon, comme parfois.
Aujourd'hui j'ai 4 ans. Comme souvent.
Le crispy chicken, c'est ma version du KFC. Une version bonne, donc. Parce que le KFC, quand on voit la pub, on a faim. L'idée, on la comprend: du poulet avec du machin croustillant autour, du miam, du graisseux, du bonheur quoi. Sauf qu'en vrai, le KFC c'est toujours vaguement tiède et mollasson. Et puis par les temps qui courent on est pas à l'abri d'y manger du poney. Donc autant le faire soit même vu que c'est vachement meilleur d'abord.
Décadent c'est le mot. Je pense que ce gâteau peut rendre n'importe qui diabétique dans la minute. Je suis pas adepte des desserts, encore moins quand ils sont très gras et sucrés. Et pourtant là franchement, j'avoue que c'est canon. Incroyable. La défaite de la raison et de la diététique. Mais c'est pour ça qu'on l'aime.
Vous avez reconnu mon imitation ?
Oui, c'est la Saint Valentin (bis) donc j'ai le droit de faire d'obscures références à Bridget Jones.
Je vous avais promis sur Twitter une recette bien grasse pour filles célibataires (donc celles qui font les mauvais choix, donc celles qui auraient choisi Daniel Cleaver, LOGIQUE).
Avec celle des rochers home made, ça fait deux, lucky you.
Une petite dose de solitude, une louche de gras, un soupçon de célibat ? Voilà ce qu'il faut pour réaliser une tartiflette pour une personne.
A la Saint Valentin, on offre des chocolats. Et comme tu es seule et dépressive, on t'en offrira pas. Mais HEUREUSEMENT l'ornithorynque chafouin est là pour t'apprendre à devenir autonome, à faire des chocolats toi même et à dire fuck à la gente masculine qui peut remballer ses mon chéri.